Le jeudi c’est relâche, c’est le jour où on oublie les affaires en cours pour revenir sur ces sujets qui avaient permis à mes opposant d’ébrécher mon image ces dernières années.
Vous ne pensiez pas qu’un journal aussi respectable que L’Humanité pouvait prendre fait et cause pour des truands en publiant cet article du 13 juin 2013 dans le seul but de me salir et de me dénoncer comme “marchand de sommeil”. En revenant sur les faits, deux ans plus tard, vous avez pu comprendre comment ce “canard” a été le complice objectif d’escroquerie. Je n’ai pas d’autres but, en publiant ces articles tous les jeudis, que de faire la lumière sur tout cela.
Vous avez été abasourdis par l’arnaque aux loyers impayés de M. et Mme A. il y a deux semaines puis estomaqués par l’état dans lequel Mme Z. a rendu son appartement qui était pourtant neuf lorsqu’elle a emménagé. Mais ceci n’est rien, nous allons continuer cette semaine par la troisième famille pour laquelle L’Humanité avait pris fait et cause M. et Mme S. (rappelons que parmi les deux enfants, l’un était en “vacances” sur le sol français “).
Rappelez-vous, L’Humanité écrivait : ” Dans l’appartement voisin, un couple et ses deux enfants dorment à quelques centimètres d’un mur couvert de moisissures. Certaines subventions auraient même été refusées en raison de la taille trop petite des logements ou de leur éclairage insuffisant“.
Visiblement la situation de cette famille n’a dupé que L’Humaité car la justice, elle, a bien compris à qui elle avait à faire. Elle a prononcé la déchéance du bail et l’expulsion de la famille S. après avoir fait faire une expertise du logement car bien sûr, M. et Mme S. prétendaient que leurs vicissitudes avaient pour origine les défaillances de leur bailleur.
La famille S. est partie avec 14 039 euros de loyers impayés et rendant leur appartement comme ceci : 
L’histoire ne dit pas si les S. on payé leur cotisation d’adhésion au Parti Socialiste ou à l’association Mieux Vivre à Linas qui pourtant leur a rendu visite plusieurs fois pour les soutenir dans leur dur combat contre cette “saleté”…de propriétaire.
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