Que n’a-t-on pas écrit dans la presse depuis 2011 suite à mon éviction de la présidence de l’Association des Maires d’Ile-de-France. J’étais donc une fois de plus le manant honni par la gentry parisienne.
Je vous rappelle un peu l’histoire :
En 2010, je me présente à l’élection de la présidence de l’Association des Maires d’Ile-de-France contre un candidat issu d’une négociation entre les partis politiques de droite et de gauche confondus.
1) Mes concurrents rejettent ma candidature…, j’obtiens alors une décision de justice dans l’heure, qui la rétablit.
2) Mes concurrents gagnent l’élection et font disparaître toutes les preuves du scrutin ; j’obtiens 3 décisions de justice qui les obligent à produire les bulletins, pouvoirs et ainsi que tous les documents concernant ce scrutin.
3) On découvre une vaste fraude dans cette élection ; j’obtiens son annulation, mais trop tard pour refaire un nouveau scrutin.
4) Sachant qu’ils risquent de m’avoir une nouvelle fois candidat à l’élection suivante de la Présidence, mes concurrents organisent mon exclusion de l’AMIF. Je viens de gagner le rétablissement de tous mes droits
5) Vraisemblablement, en septembre, toujours dans cette même affaire, l’ancien Président de l’AMIF va être traduit en correctionnelle (affaire devant la chambre de l’instruction) et derrière lui l’équipe dirigeante actuelle.
6) Restera à venir la contestation de l’élection du Président actuel (un certain Baudet) pour les mêmes raisons qu’en 2010.
Nos valeurs plus puissantes que la hiérarchie
Voilà ce qui arrive lorsque les élites toutes puissantes pensent pouvoir faire la pluie et le beau temps dans notre République. Il y a toujours le peuple qui s’avance ou tout simplement un juge, qui en dernier ressort, vient rappeler le bon droit.
Défendre nos valeurs républicaines que c’est exaltant. Ne pensez pas que je m’acharne, à vrai dire je ne fais que défendre la démocratie. D’ailleurs j’invite tous ceux qui ont à subir les abus de pouvoirs de toutes sortes à se rebeller comme je le fais ou comme d’autres l’ont fait, avec infiniment plus de courage, il y a 70 ans.
L’AMIF a donc été condamnée à verser 4 000 euros (lire Arrêt_CA_Paris_30_06_15). Ces derniers seront encaissés dans les comptes de ma bonne ville de Linas.
Laisser un commentaire