Mes amis de l’association Anticor, qui ont profité il y a quelques années des subventions de la Mairie de Linas (lorsque leur action n’était pas politisée), ont décidé de se mêler des investitures des élections législatives en racontant de grosses bêtises sur mon compte. Afin de ne pas laisser circuler ces “fake news”, je me permets de rectifier les informations délivrées par Anticor :
Le jugement de 2016 a été annulé avant même d’être publié, par le simple fait que la partie civile et moi avons fait appel. Il n’a donc aucune valeur, ce que chacun sait pertinemment.
Le jugement de 2006 a été cassé, rejugé. J’ai été blanchi et mon casier judiciaire purgé. Je ne peux pas mieux dire.
Je respecte tout à fait les critères de moralité de “En-marche”, et même plus. Mon casier judiciaire B2 est totalement vierge, tout comme le B3 (copie disponible sur demande). Je n’ai jamais été condamné à de l’inéligibilité.
Sur ce dernier point je remarque que tous les candidats dans ma circonscription ne peuvent pas en dire autant, et je ne m’étonne pas qu’Anticor ait oublié de s’en faire l’écho.
Depuis 20 ans que je j’affronte le système et ses satellites comme Anticor, je n’ai eu de cesse d’être assailli pour toutes sortes de procédures judiciaires plus ou moins fantaisistes. On comprend d’ailleurs mieux leur but lorsque l’on voit l’exploitation qu’en fait Anticor aujourd’hui.
A ce jour, je suis toujours aussi propre et vierge que le 21 octobre 1965 lorsque je suis né et ceci malgré toute l’énergie dépensée pour m’abattre.
Anticor doit s’y faire, dans une démocratie on a le droit de vociférer, calomnier, accuser, poursuivre… Mais lorsque l’on est incorruptible, on ne peut pas être condamné.
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