Victoire cinglante contre les combines, les copinages et les coups tordus.

fp couteau1Je viens d’échapper à une nouvelle cabale politico-judiciaire. Ce vendredi 19 octobre,  la Cour d’Appel de Paris m’a donné raison dans le procès “Violation du secret du vote”. Intentée par l’opposition de Linas, relayée par le procureur d’Evry, cette procédure était dirigée contre une employée de la Mairie de Linas mais surtout contre moi arbitrairement désigné comme complice.Ces personnes  prétendaient que nous avions voulu éplucher les bulletins de vote après une séance du Conseil Municipal pour démasquer un félon au sein de ma majorité. A deux reprises les juges ont refusé de cautionner leurs sornettes et sont allés jusqu’à prononcer la “nullité de la citation” c’est-à-dire de juger que cette procédure n’aurait jamais dû être engagée contre nous.La cabale judiciaire était pourtant bien ficelée : L’une de mes colistière (Madame Corinne Clotteaux, habitant rue de la Vachère), après avoir été élue sur ma liste en 2014,  joue les agents infiltrés au sein de la majorité municipale pour le compte de l’opposition (M. Christian Lardière, groupe Linas Avant Tout). Leur avocat, qui est aussi celui d’un promoteur immobilier en froid avec nous (Maitre Rémi-Pierre Drai, connu pour murmurer à l’oreille de certains magistrats ) porte plainte en nous reprochant d’avoir mis à jour leur petit manège.

Corinne Clotteaux, félonne de l'équipe du maire de Linas
Corinne Clotteaux, félonne de l’équipe du maire de Linas

Le procureur d’Evry de l’époque (M. Eric Lallement) lance des investigations dignes d’une affaire criminelle avec une célérité qui n’a rien à voir avec celle que vous et moi connaissons, et demande à être personnellement tenu informé de l’avancée de l’enquête. On apprendra plus tard que c’est l’opposition (M. Lardière) qui a fait le casting des témoins entendus par la police. L’enquête menée par un commandant de Police  (correspondant IGPN en Essonne), conclut que même si notre innocence est établie on peut difficilement croire que nous ne soyons pas coupable. Pour finir le procureur nous renvoie devant un tribunal sur la base de qualifications pénales dont les juges indiqueront qu’elles sont inappropriées et pour finir la cour d’appel saisie par l’opposition et le procureur ira encore plus loin … bref ….une belle comédie.

Christian Lardière de l'opposition
Christian Lardière de l’opposition

Si j’étais parlementaire,  cette nouvelle agression judiciaire serait une véritable affaire d’Etat. Un Watergate,  tant les masques sont tombés au fil de la procédure et que la supercherie est apparue au grand jour. Mais la cabale aurait tout autant pu réussir comme a réussi l’affaire du bar associatif et des bûches de bois à l’issue de laquelle j’ai été condamné exactement par le même mécanisme. Mais… on en reparlera.

Je tiens à préciser que ces intrusions de la justice dans la vie politique, sujet très en vogue en ce moment, ne sont absolument pas représentatives de 99 % du travail que réalisent,  en toute indépendance et impartialité,  les magistrats de France. Je le constate chaque jour dans les affaires concernant la commune et je peux en témoigner.

Vous avez certainement remarqué que cette victoire, cinglante je le répète, a été accompagnée d’un silence préoccupant pour la démocratie.

A chaque fois que le début du commencement d’un soupçon est évoqué contre moi, même ignoble et improbable, la mobilisation de la presse et des réseaux sociaux est totale, notamment lorsque je suis candidat à une élection. A l’inverse, mes victoires judiciaires et la mise à nu des cabales politiques qui les ont initiées n’intéressent pas ceux qui pensent et parlent à votre place.

Depuis 10 ans on vous a fait savoir, à d’innombrables reprises, que j’étais mis en cause devant la justice pour ceci ou cela. Mais combien de fois vous a-t’on informé lorsque j’étais blanchi in fine  ?

D’aucuns pensent que le meilleur moyen d’éliminer un homme politique n’est pas de le battre aux élections mais de lui trouver maille à partir avec la justice. Cette théorie aboutit à discréditer la politique, la justice et à écœurer les citoyens.

Chaque jour,  des élus crient au complot dans les médias lorsqu’ils sont mis en cause. Aujourd’hui moi je peux le faire alors que je suis blanchi à 100% une nouvelle fois et qu’aucune des nombreuses attaques qui ont été tentées contre moi n’a abouti à mes dépens à ce jour !

Dans cette énième procédure qui vient de se conclure positivement, alors que les juges d’appel ont considéré qu’elle n’aurait même jamais dû être initiée, on ne doit pas oublier les conséquences financières pour la collectivité. Ce n’est pas Mme Clotteaux ni M. Lardière qui vont payer les frais d’avocat, ni le temps perdu, mais vous, les contribuables.

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