C’est à lire, je confirme c’est faits:
Il y a quelques mois, la CGT et son représentant Jean-Marc Vincent ont été pris en “flagrant délit ” alors qu’ils tentaient de faire pression sur un élu, le maire de Linas, et d’une curieuse façon. Ce syndicaliste avait envoyé sur le blog internet du maire plusieurs messages à connotation sexuelle (revoir la vidéo ci-dessous).
L’affaire prend tout son relief lorsque l’on sait que Jean-Marc Vincent défend Hamdi Shili Bensineb dans un affaire privée où le Maire de Linas est leur adversaire à titre privé, en dehors de ses fonctions de Maire.
Faire pression sur un élu, prendre en otage sa réputation d’homme public pour influer sur un dossier qui le concerne à titre privé, c’est scandaleux.
Le faire en proférant des accusations sexuelles inventées de toutes pièces, c’est plus révoltant et sordide. Mais notre syndicaliste est capable de bien pire : se faire passer pour l’avocat du maire..
En février 2016 M. Pelletant, Maire de Linas reçoit un message sur son blog. Ce message est envoyé par un certains Maître Bravais dont l’adresse email est [email protected]. Le maire connaît cette personne puisque c’est son avocat Maitre Grégoire Bravais.
Après avoir entamé la conversation par email, le Maire va avoir un doute. Il vérifie l’adresse habituelle de l’avocat et constate que celle-ci est sensiblement différente.
la personne qui a ursurpé l’identité de l’avocat, a substitué son adresse email et a tenté de tromper le Maire de Linas est en réalité Jean-Marc Vincent, défenseur CGT de Hamdi Shili Bensineb.
Il comprend alors que son interlocuteur n’est pas son avocat mais un imposteur. Une procédure judiciaire révélera 6 mois plus tard que la personne qui a ursurpé l’identité de l’avocat, a substitué son adresse email et a tenté de tromper le Maire de Linas est en réalité Jean-Marc Vincent, défenseur CGT de Hamdi Shili Bensineb.
Voici donc les méthodes de ceux qui revendiquent le dialogue social et la mentalité de ceux qu’ils défendent.
Si un employeur avait utilisé de telles méthodes, que se serait-il passé ?
Si un avocat s’était servi de l’identité d’un confrère contradicteur pour piéger un employeur, il y aurait eu un tollé général dans le monde judiciaire et il risquait la radiation de l’Ordre des Avocats.
Mais la CGT se croit tout permis mais ce qui est de plus illégal.
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