les Joncs Marins : vers un recours en justice

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image - Joncs MarinsLa réponse du Président Berson sur ma demande d’aménagement de l’arrêt de bus des Joncs Marins à La Ville du Bois n’est pas satisfaisante. La responsabilité du Conseil Général (propriétaire de la RN20 depuis 6 ans) est de chercher des solutions plutôt que d’utiliser l’alibi du désaccord pour ne rien faire. Je vais de nouveau écrire au Président du Conseil Général de l’Essonne. Si rien n’est fait sous 6 mois, j’envisagerai des recours judiciaires en accord avec les Maires concernés.

Lire la suite avec la réponse du Président Berson à ma question lors de l’Assemblée départementale du 15/02/2010

Séance de l’Assemblée départementale de l’Essonne du 15/02/2010 – Réponse à la question n°2010-02 « situation de l’arrêt de transports en commun Joncs Marins situé sur la RN20 à La Ville du Bois

« La situation de cet arrêt de bus est effectivement préoccupante et je regrette vivement que l’urbanisation qui s’est développée sur ce secteur au cours de ces dernières années n’ait pas pris en compte le déplacement des piétons et leur sécurité aux abords d’un axe routier aussi important que la RN20.

Afin d’examiner les solutions techniques envisageables pour sécuriser cet arrêt, je vous informe que les services techniques départementaux ont organisé le 16 janvier 2009 une conférence point d’arrêt, à laquelle ont participé les maires des communes de La Ville du Bois et de Ballainvilliers ainsi que le transporteur Daniel Meyer.

Deux propositions d’aménagement ont été évoquées.

La première consiste à déplacer l’arrêt à l’intérieur de la zone commerciale. Cette solution avait l’avantage de prendre en charge les voyageurs en toute sécurité. Toutefois, elle induisait un allongement de parcours d’environ un kilomètre et des coûts d’exploitation supplémentaires. Le transporteur et les communes ont rejeté cette proposition.

La seconde solution, proposée par les communes, prévoyait l’installation de feux tricolores sur la RN20 pour protéger les traversées piétonnes. La gendarmerie de Palaiseau, sollicitée sur ce dispositif, a émis un avis très réservé au regard des risques d’accident qu’il était susceptible d’entraîner, notamment en raison de sa mauvaise perception des deux roues qui remontent fréquemment à vive allure les files de voiture à l’arrêt.

L’absence de consensus entre les différents intervenants n’ayant pas permis d’aboutir à la mise en œuvre d’une solution technique adaptée au contexte de cet arrêt, j’ai demandé aux services techniques départementaux de poursuivre les réflexions sur la faisabilité technique d’un aménagement souhaité par les communes de La Ville du Bois et de Ballainvilliers, dont le financement serait en toute hypothèse partagé entre les communes concernées et le département.”


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