Une candidate inconnue…
Ceux qui ont téléchargé l’appli “My Pelletant député” ont eu l’info depuis mercredi. Le parachutage politique d’une candidate inconnue sur la 4ème circonscription de l’Essonne ; Agnès Evren, une copine de NKM dans la conquête ratée de la mairie de Paris. Il s’agit ainsi du second volet de la négo entre NKM et Fillon au sujet de la 2ème circonscription parisienne. Une histoire qui a déjà fait couler beaucoup d’encre… et la salive de Rachida Dati.
On marche sur la tête et beaucoup d’amis encartés depuis des années à l’UMP et aux Républicains ont “mal” à leur droite. Alors que la politique est au plus bas dans l’estime des Français et que les salaires fictifs de Pénélope ont donné une indigestion à tous ceux qui, comme moi, ont soutenu François Fillon lors de la primaire. “Les Républicains” n’ont rien trouvé de mieux que de parachuter ici une femme élevée hors sol, à Paris, et dont on a rien à attendre.
Une circonscription oubliée…
C’est encore plus révoltant de constater que notre territoire est considéré comme un fond de commerce par ces élites qui échangent une circonscription confortable à Paris contre une circonscription abandonnée en Essonne; moyennant un voyage à Los Angeles et un reniement de plus. Le pire c’est que tout ceci se trame dans le dos de ceux qui paient des impôts et, qui subissent chaque jour les conséquences des défaillances des élites et des puissants.
Cette façon de faire de la politique nous donne la nausée. Il faut arrêter ces inconscients qui violent la République sans vergogne et sans scrupules. Arrêter le vol de l’argent public et mettre fin au mépris ! Tout ceux qui travaillent, économisent et subissent seuls les conséquences des mauvaises gestions. Il faut empêcher le détournement des institutions et de la justice pour régler des comptes politiques. Les 11 et 18 Juin 2017,reprenez le pouvoir qui vous appartient et que vous disiez non à ces combines.
Plus que jamais, je veux mettre un coup de pied dans cette fourmilière de copains-coquins et d’individus douteux. Nous devons reprendre en main la destinée de notre territoire. Nous devons aussi restaurer les pratiques d’une politique saine comme elle n’aurait jamais dû cesser d’être.
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